Dunhill/fr: Difference between revisions

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Bien qu’il ait travaillé comme apprenti dans la fabrication des harnais et se déplaçait dans une charrette tirée par un poney pour vendre des stores de voiture, Alfred fut prompt à abandonner la traction hippomobile pour le moteur dès qu’en 1896 la loi sur la circulation automobile porta la limitation de qui était alors de 4 miles par heure -environ 6,5 km/h-  (avec un homme porteur d’un drapeau rouge marchant devant) à une vitesse nettement moins réduite de 12 m/h  (environ 19 km/h). - Telegraph .<ref name=tm>Burgess, David. Telegraph (16 Aug 2003). Weird and Wonderful. UK: Telegraph Media Group.[https://pipedia.org/images/f/f7/Weird_and_Wonderful_-_Telegraph_Page.pdf]</ref></blockquote>
Bien qu’il ait travaillé comme apprenti dans la fabrication des harnais et se déplaçait dans une charrette tirée par un poney pour vendre des stores de voiture, Alfred fut prompt à abandonner la traction hippomobile pour le moteur dès qu’en 1896 la loi sur la circulation automobile porta la limitation de qui était alors de 4 miles par heure -environ 6,5 km/h-  (avec un homme porteur d’un drapeau rouge marchant devant) à une vitesse nettement moins réduite de 12 m/h  (environ 19 km/h). - Telegraph .<ref name=tm>Burgess, David. Telegraph (16 Aug 2003). Weird and Wonderful. UK: Telegraph Media Group.[https://pipedia.org/images/f/f7/Weird_and_Wonderful_-_Telegraph_Page.pdf]</ref></blockquote>


En 1896, la révolution automobile commença à trouver place dans les rues de Londres. Henry réalisa vite que ce mouvement menaçait l'avenir de son entreprise. A 55 ans, il n'était plus en très bonne santé et songeait à la retraite. Lorsqu'un incendie détruisit une partie de son magasin en 1897, Henry décida qu'il était temps pour son fils de reprendre l'affaire. Mary raconte qu'un beau jour, son grand-père, rentrant à la maison un soir, dit : "Ainsi tu veux reprendre l'affaire, Alfred?  Avisé et entrevoyant déjà les possibilités du marché, Alfred dit oui et ils se serrèrent la main. Quelques semaines plus tard, Henry prenait sa retraite.<ref name=mary7>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 18). Great Britain, The Bodley Head.</ref>
En 1896, la révolution automobile commença à trouver place dans les rues de Londres. Henry réalisa vite que ce mouvement menaçait l'avenir de son entreprise. A 55 ans, il n'était plus en très bonne santé et songeait à la retraite. Lorsqu'un incendie détruisit une partie de son magasin en 1897, Henry décida qu'il était temps pour son fils de reprendre l'affaire. Mary raconte qu'un beau jour, son grand-père, rentrant à la maison un soir, dit : "Ainsi tu veux reprendre l'affaire, Alfred ?  Avisé et entrevoyant déjà les possibilités du marché, Alfred dit oui et ils se serrèrent la main. Quelques semaines plus tard, Henry prenait sa retraite.<ref name=mary7>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 18). Great Britain, The Bodley Head.</ref>


Et c'est ici qu'Alfred Dunhill commence son périple mémorable. En 1887, Alfred, le troisième fils d'Henry, devient apprenti dans la fabrique de harnais de son père. A la mi-1893, alors âgé de 21 ans, Alfred devint entrepreneur après avoir repris l'entreprise de sellerie de son père, qui finirait par fermer quelques années après.  
Et c'est ici qu'Alfred Dunhill commence son périple mémorable. En 1887, Alfred, le troisième fils d'Henry, devient apprenti dans la fabrique de harnais de son père. A la mi-1893, alors âgé de 21 ans, Alfred devint entrepreneur après avoir repris l'entreprise de sellerie de son père, qui finirait par fermer quelques années après.  
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