Dunhill/fr: Difference between revisions

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<blockquote><q>Depuis le début des années 60  la bruyère algérienne était en grande partie inaccessible pour Dunhill et on dut utiliser une bruyère bien plus dure (essentiellement grecque) pour cette finition (sablée). Par conséquent depuis le milieu des années 60, on trouve des pipes shell avec un sablage nettement plus superficiel le plus souvent.</q>  The Dunhill Briar Pipe. <ref name=jcl16>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After, The Beginnings (p. 22). Chicago: self-published.</ref></blockquote>
<blockquote><q>Depuis le début des années 60  la bruyère algérienne était en grande partie inaccessible pour Dunhill et on dut utiliser une bruyère bien plus dure (essentiellement grecque) pour cette finition (sablée). Par conséquent depuis le milieu des années 60, on trouve des pipes shell avec un sablage nettement plus superficiel le plus souvent.</q>  The Dunhill Briar Pipe. <ref name=jcl16>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After, The Beginnings (p. 22). Chicago: self-published.</ref></blockquote>


<blockquote><q>D'après David Webb, les Dunhill ont connu des problèmes au milieu des années 70, pas tant sur leur qualité même que sur leurs les signes extérieurs de cette qualité. Ceux qui étaient en charge du marketing à l'époque décidèrent que les "shell" devaient être complètement noires et brillantes – une teinture bleu-noire fut utilisée, qui supprimait tous les saillants rougeâtres. Dans le même temps on éclaircit la finition “Bruyere” par rapport à sa couleur prune d'origine. Ces deux changements ont joué sur la réputation des pipes et peuvent être cause de certaines critiques que j'ai entendu : mais, même avec ces pipes, la qualité sous-jacente est encore là. Depuis ce temps, bien sûr, on est revenu à la finition “Bruyere” originale, et la nouvelle ‘Deepshell’ a atteint nos rivages en quantité limitée<ref name=rdf>R.D. Fields. (1983), Pipe Smoker - Fall '83. The Dunhill Pipe: a comparison of then and now. [https://pipedia.org/wiki/A_Tail_of_Two_Briars/en A Tail of Two Briars].</ref></blockquote>  
<blockquote><q>D'après David Webb, les Dunhill ont connu des problèmes au milieu des années 70, pas tant sur leur qualité même que sur leurs les signes extérieurs de cette qualité. Ceux qui étaient en charge du marketing à l'époque décidèrent que les "shell" devaient être complètement noires et brillantes – une teinture bleu-noire fut utilisée, qui supprimait tous les saillants rougeâtres. Dans le même temps on éclaircit la finition “Bruyere” par rapport à sa couleur prune d'origine. Ces deux changements ont joué sur la réputation des pipes et peuvent être cause de certaines critiques que j'ai entendu : mais, même avec ces pipes, la qualité sous-jacente est encore là. Depuis ce temps, bien sûr, on est revenu à la finition “Bruyere” originale, et la nouvelle ‘Deepshell’ a atteint nos rivages en quantité limitée<ref name=rdf>R.D. Fields. (1983), Pipe Smoker - Fall '83. The Dunhill Pipe: a comparison of then and now. [https://pipedia.org/wiki/A_Tail_of_Two_Briars/fr A Tail of Two Briars].</ref></blockquote>  


Les indicateurs utilisés pour définir ce concept de "baisse de qualité" semble relever de mauvaises perceptions des changements et de valeurs esthétiques subjectives. Dans ces conditions, toute conclusion définitive serait prématurée et injuste. Même le traitement à l'huile, qui était considéré comme décisif pour la qualité, ne l'est plus autant en définitive, comme nous pouvons le voir dans une autre réflexion du Dr Hanna :
Les indicateurs utilisés pour définir ce concept de "baisse de qualité" semble relever de mauvaises perceptions des changements et de valeurs esthétiques subjectives. Dans ces conditions, toute conclusion définitive serait prématurée et injuste. Même le traitement à l'huile, qui était considéré comme décisif pour la qualité, ne l'est plus autant en définitive, comme nous pouvons le voir dans une autre réflexion du Dr Hanna :