Dunhill/fr: Difference between revisions

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Alfred était fasciné par l'architecture et le dessin et fit subir à ses maisons (à la ville et à la campagne) de fréquents changements après sa retraite. Il envisagea également d'investir dans le commerce des jouets et des confiseries, mais n'eut pas l'opportunité de le faire.
Alfred était fasciné par l'architecture et le dessin et fit subir à ses maisons (à la ville et à la campagne) de fréquents changements après sa retraite. Il envisagea également d'investir dans le commerce des jouets et des confiseries, mais n'eut pas l'opportunité de le faire.


<blockquote><q>(...) mon père était venu de Londres dans l'intention de construire des maisons dans ce qui était alors un petit village du Buckhinghamshire. Bien qu'il en sache peu en matière d'immobilier, c'était l'une des multiples enterprises commerciales qu'il accumula au cours des trente premières années de sa vie. Derrière ceci, il y avait le fait que la nouvelle ligne de Marylebone à Aylesbury traversait déjà le village, et ses horaires permettaient aux usagers les mieux nantis d'aller plus loin en campagne.Comme ils étaient susceptible d'avoir besoin de meilleures maisons que ce que Great Missenden pouvait offrir, mon père fit l'acquisition de quelques acres de terre près de la gare, fit affaire avec un constructeur local pour bâtir une demi douzaine de maisons assez classiques dessinées par lui, garda la première pour lui et dans les deux ans qui suivirent, vendit l'ensemble.
<blockquote><q>(...) mon père était venu de Londres dans l'intention de construire des maisons dans ce qui était alors un petit village du Buckhinghamshire. Bien qu'il en sache peu en matière d'immobilier, c'était l'une des multiples entreprises commerciales qu'il accumula au cours des trente premières années de sa vie. Derrière ceci, il y avait le fait que la nouvelle ligne de Marylebone à Aylesbury traversait déjà le village, et ses horaires permettaient aux usagers les mieux nantis d'aller plus loin en campagne. Comme ils étaient susceptible d'avoir besoin de meilleures maisons que ce que Great Missenden pouvait offrir, mon père fit l'acquisition de quelques acres de terre près de la gare, fit affaire avec un constructeur local pour bâtir une demi douzaine de maisons assez classiques dessinées par lui, garda la première pour lui et dans les deux ans qui suivirent, vendit l'ensemble.


Ces maisons sont toujours debout et font partie d'un Great Missenden agrandi. Cependant je suis quasiment sûre que lorsqu'à l'époque les profits de la vente des maisons furent partagés, mon père tira assez peu d'argent de l'affaire. Ce n'était pas l'une de ces grandes entreprises novatrices par lesquelles il illustra son empressement à miser sur une idée dans laquelle il croyait". Mary Dunhill, Our Family Business<ref name=mary1>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 9). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>
Ces maisons sont toujours debout et font partie d'un Great Missenden agrandi. Cependant je suis quasiment sûre que lorsqu'à l'époque les profits de la vente des maisons furent partagés, mon père tira assez peu d'argent de l'affaire. Ce n'était pas l'une de ces grandes entreprises novatrices par lesquelles il illustra son empressement à miser sur une idée dans laquelle il croyait". Mary Dunhill, Our Family Business<ref name=mary1>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 9). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>
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