Dunhill/fr: Difference between revisions

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<blockquote>"Pour sa bravoure et sons sens du devoir le 1er septembre 1918 dans l’attaque de Frégicourt. Devant une opposition importante, il a habilement manœuvré sa compagnie dans une attaque de flanc, qui a permis, bien que harcelés par le feu des mitrailleuses lourdes, de faire plus de 200 prisonniers. Ce succès fut en grande partie dû au résultat de son sang-froid et de son audace".</blockquote>
<blockquote>"Pour sa bravoure et sons sens du devoir le 1er septembre 1918 dans l’attaque de Frégicourt. Devant une opposition importante, il a habilement manœuvré sa compagnie dans une attaque de flanc, qui a permis, bien que harcelés par le feu des mitrailleuses lourdes, de faire plus de 200 prisonniers. Ce succès fut en grande partie dû au résultat de son sang-froid et de son audace".</blockquote>


Un jour, Durant la Seconde Guerre Mondiale, alors qu’une bombe venait de détruire les bureaux de la Société en 1941, le directeur s’assit au milieu des gravats, vendant les reliquats du stock de pipes aux passants.</q> The Times<ref name=ahd5>The Times - (July 9, 1971). Obituary - Mr Alfred Dunhill, Pipes, tobacco and cigars. (P. 34). London [https://pipedia.org/images/b/b9/The_Times_1971-07-09.jpg]</ref>.  En voir plus à ce sujet ic [[WWII Phase]].
Un jour, Durant la Seconde Guerre Mondiale, alors qu’une bombe venait de détruire les bureaux de la Société en 1941, le directeur s’assit au milieu des gravats, vendant les reliquats du stock de pipes aux passants.</q> The Times<ref name=ahd5>The Times - (July 9, 1971). Obituary - Mr Alfred Dunhill, Pipes, tobacco and cigars. (P. 34). London [https://pipedia.org/images/b/b9/The_Times_1971-07-09.jpg]</ref>.  En voir plus à ce sujet ici [[WWII Phase]].


Alfred Henry devint président au départ en retraite de son père, mais ainsi que nous pouvons le lire dans les mémoires de Mary, il avait très peu d’autonomie. Son oncle Bertie gardait tout en main. L’affaire fut dirigée par Herbert jusqu’à son décès en 1950.
Alfred Henry devint président au départ en retraite de son père, mais ainsi que nous pouvons le lire dans les mémoires de Mary, il avait très peu d’autonomie. Son oncle Bertie gardait tout en main. L’affaire fut dirigée par Herbert jusqu’à son décès en 1950.
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