Herbert Edward Dunhill/fr: Difference between revisions

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<blockquote><q>Oncle Bernie avait la cinquantaine à cette époque et s'était laissé pousser une grand barbe qui renforçait le caractère confiant et décontracté d'un homme dans sa maturité et laissait derrière lui les manières affectées de sa jeunesse. Après avoir eu autant d'affaires de cœur que Père en avait eu, bien  q u 'Oncle Bertie ait conduit les siennes avec plus de discrétion, il s'était séparé de son épouse, Violet, et vivait maintenant avec une femme brune et charmante du nom d'Isobel. C'était une compagne d'infortune de la tuberculose, compagne qu'il avait connue à l'Hôpital Mundesley  et emmenée avec lui à Merano, et, qu'il adora véritablement durant les quelques années où ils vécurent ensemble avant son décès à cet endroit même, lui rapportant des cadeaux ou de petits bouquets de fleurs chaque fois qu'il la laissait plus de quelques minutes. Oncle Bertie prenait un vif intérêt à mes propres affaires de cœur et était particulièrement impatient de rencontrer Geoffrey. Pour mon plus grand plaisir, ils s'entendirent parfaitement tous les deux.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-90.</blockquote>  
<blockquote><q>Oncle Bernie avait la cinquantaine à cette époque et s'était laissé pousser une grand barbe qui renforçait le caractère confiant et décontracté d'un homme dans sa maturité et laissait derrière lui les manières affectées de sa jeunesse. Après avoir eu autant d'affaires de cœur que Père en avait eu, bien  q u 'Oncle Bertie ait conduit les siennes avec plus de discrétion, il s'était séparé de son épouse, Violet, et vivait maintenant avec une femme brune et charmante du nom d'Isobel. C'était une compagne d'infortune de la tuberculose, compagne qu'il avait connue à l'Hôpital Mundesley  et emmenée avec lui à Merano, et, qu'il adora véritablement durant les quelques années où ils vécurent ensemble avant son décès à cet endroit même, lui rapportant des cadeaux ou de petits bouquets de fleurs chaque fois qu'il la laissait plus de quelques minutes. Oncle Bertie prenait un vif intérêt à mes propres affaires de cœur et était particulièrement impatient de rencontrer Geoffrey. Pour mon plus grand plaisir, ils s'entendirent parfaitement tous les deux.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-90.</blockquote>  


<blockquote><q>If Dunhill's had become the "ultimate lifestyle brand", Alfred's bushy-bearded brother Bertie believed in living the ultimate lifestyle, directing the company's by now international empire from his villas in the Italian alps and at Monte Carlo, where he dallied with a succession of exotic mistresses, one of whom – the lovely Frederika Agnes Stodolowksy – was the wife of a Dunhill employee who had conveniently been given a one-way ticket to Australia. Alfred, too, fell under the spell of the high life and ran off one day with a fisherman's daughter in his Rolls-Royce...</q> David Burgess-Wise - Telegraph.</blockquote>
<blockquote><q>Si Dunhill était devenu "la marque d'un style de vie privilégié", Bertie, le frère à la barbe broussailleuse menait lui-même ce style de vie en dirigeant l'entreprise, devenue un empire international, depuis ses villas dans les Alpes italiennes et à Monte Carlo, où il badinait avec une succession de maîtresses exotiques, dont l'une d'elles,  la charmante Frederika Agnès Stodolowksy- était l'épouse d'un employé de Dunhill à qui on avait  bien commodément remis un aller simple pour l'Australie. Alfred, lui aussi, fut ensorcelé par la grande vie et partit un jour dans sa Rolls-Royce avec une fille de pêcheur.</q> David Burgess-Wise - Telegraph.</blockquote>


Mary on one of her business visits tells us a little about these meetings and about her uncle's last days.
Mary on one of her business visits tells us a little about these meetings and about her uncle's last days.

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