Herbert Edward Dunhill/fr: Difference between revisions

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Mary lors de ses visites d'affaires nous en dit un peu plus sur ces rencontres et sur la fin de vie de son oncle.
Mary lors de ses visites d'affaires nous en dit un peu plus sur ces rencontres et sur la fin de vie de son oncle.


<blockquote><q>In the evenings we played roulette for as long as Uncle Bertie’s strictly limited stake-money would last, not to mention our own. The afternoon was reserved for going through our business papers, discussing every development and staff appointment I had on my list, with Uncle Bertie cross-examining me until he had every detail. Sometimes he would talk about the will he had been working on with his lawyers but, being fond of him and reluctant to think seriously about his death, I paid little attention to this subject. Once, when I complained of our financial frustrations more vigorously than usual, he quietly said, "Never mind, my dear. You’ll soon have it all your own way."<br><br>
<blockquote><q>Dans la soirée, nous jouions à la roulette aussi longtemps que  pouvaient durer les mises parcimonieuses de l'Oncle  Bertie, pour ne rien dire des nôtres. L'après midi était réservé à parcourir des papiers, à discuter de chaque projet ou des rémunérations de personnel qui étaient sur ma liste, Oncle Bertie m'interrogeant encore et encore jusqu'à ce qu'il ait compris tous les détails. Parfois il évoquait le testament sur lequel il avait travaillé avec ses avocats, mais, l'aimant énormément et refusant de penser à sa mort, je prêtais peu d'attention à ce sujet. Une fois, alors que je me plaignais de nos difficultés financières un peu plus qu'à l'habitude, il me dit doucement "Ne t'en fais pas ma chérie. Tu auras bientôt les coudées franches".<br><br>
His generosity as a host was usually boundless yet, in contrast, there were sudden moments of stinginess, possibly to impress Zee with the notions of thrift that he and Father had had dinned into them in their youth. There were occasions when he persuaded the children to drink citronade rather than pay an extra franc for the orange juice they preferred. Once he expressed shocked amazement because, still in the days of sweet rationing, I had paid £2 for chocolates to take home as presents. Nor have I any doubt that his health rapidly deteriorated in 1950 after he had waited in the rain for a ’bus rather than pay a taxi fare.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  
Sa générosité en tant qu'hôte était en général sans limites, bien qu'en revanche, il fit montre parfois d'avarice, peut-être pour impressionner Zee en lui rappelant que lui et Père avaient dû compter dans leur jeunesse. Certaines fois  il persuadait les enfants de boire de la citronnade plutôt que de payer un franc de plus pour le jus d'orange qu'ils préféraient. Une fois il se montra même choqué quand, dans un moment où les friandises étaient encore rationnées, j'avais payé deux livres une boite de chocolats que j'avais apportée en cadeau. Je ne doute pas non plus que sa santé se soit rapidement détériorée en 1950 après qu'il ait attendu le bus sous la pluie battante plutôt que de se payer un taxi.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  


Balfour reported that Herbert died suddenly on 8 November 1950 not from the tuberculosis which had plagued him for so long, but from a brain haemorrhage. But according to Mary's, it wasn't that sudden - he passed away one year after the cerebral haemorrhage. A month later his company’s balance-sheet total passed the £1 million mark for the first time.  
Balfour reported that Herbert died suddenly on 8 November 1950 not from the tuberculosis which had plagued him for so long, but from a brain haemorrhage. But according to Mary's, it wasn't that sudden - he passed away one year after the cerebral haemorrhage. A month later his company’s balance-sheet total passed the £1 million mark for the first time.  

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