Herbert Edward Dunhill/fr: Difference between revisions

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Sa générosité en tant qu'hôte était en général sans limites, bien qu'en revanche, il fit montre parfois d'avarice, peut-être pour impressionner Zee en lui rappelant que lui et Père avaient dû compter dans leur jeunesse. Certaines fois  il persuadait les enfants de boire de la citronnade plutôt que de payer un franc de plus pour le jus d'orange qu'ils préféraient. Une fois il se montra même choqué quand, dans un moment où les friandises étaient encore rationnées, j'avais payé deux livres une boite de chocolats que j'avais apportée en cadeau. Je ne doute pas non plus que sa santé se soit rapidement détériorée en 1950 après qu'il ait attendu le bus sous la pluie battante plutôt que de se payer un taxi.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  
Sa générosité en tant qu'hôte était en général sans limites, bien qu'en revanche, il fit montre parfois d'avarice, peut-être pour impressionner Zee en lui rappelant que lui et Père avaient dû compter dans leur jeunesse. Certaines fois  il persuadait les enfants de boire de la citronnade plutôt que de payer un franc de plus pour le jus d'orange qu'ils préféraient. Une fois il se montra même choqué quand, dans un moment où les friandises étaient encore rationnées, j'avais payé deux livres une boite de chocolats que j'avais apportée en cadeau. Je ne doute pas non plus que sa santé se soit rapidement détériorée en 1950 après qu'il ait attendu le bus sous la pluie battante plutôt que de se payer un taxi.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  


Balfour reported that Herbert died suddenly on 8 November 1950 not from the tuberculosis which had plagued him for so long, but from a brain haemorrhage. But according to Mary's, it wasn't that sudden - he passed away one year after the cerebral haemorrhage. A month later his company’s balance-sheet total passed the £1 million mark for the first time.  
Balfour rapporte qu'Herbert mourut soudainement le 8 novembre 1950, non pas de la tuberculose qui l'avait pourtant accablée si longtemps, mais d'une hémorragie cérébrale. Mais d'après Mary, ce ne fut pas si soudain- il décéda un an après cette hémorragie cérébrale. Un mois plus tard, le bilan total de son entreprise dépassait pour la première fois le cap du million de Livres sterling.  


<blockquote><q>We then had to persuade a Dr Boland, the Dean of Guy’s hospital and a friend of Geoffrey’s, to visit him after a haemorrhage when, after lying prone and apparently waiting for his end, Uncle Bertie had been persuaded to sit up and drink a glass of whisky. Yet within a year he was dead. He died in Milan in 1951 after a visit to Turnerschlossel which he still owned and where he was buried.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  
<blockquote><q>We then had to persuade a Dr Boland, the Dean of Guy’s hospital and a friend of Geoffrey’s, to visit him after a haemorrhage when, after lying prone and apparently waiting for his end, Uncle Bertie had been persuaded to sit up and drink a glass of whisky. Yet within a year he was dead. He died in Milan in 1951 after a visit to Turnerschlossel which he still owned and where he was buried.</q> Dunhill, Mary, Our Family Business (The Bodley Head - Great Britain, 1979) p-107.</blockquote>  

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