Herbert Edward Dunhill/fr: Difference between revisions

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<blockquote><q>Si Dunhill était devenu "la marque d'un style de vie privilégié", Bertie, le frère à la barbe broussailleuse menait lui-même ce style de vie en dirigeant l'entreprise, devenue un empire international, depuis ses villas dans les Alpes italiennes et à Monte Carlo, où il badinait avec une succession de maîtresses exotiques, dont l'une d'elles,  la charmante Frederika Agnès Stodolowksy- était l'épouse d'un employé de Dunhill à qui on avait  bien commodément remis un aller simple pour l'Australie. Alfred, lui aussi, fut ensorcelé par la grande vie et partit un jour dans sa Rolls-Royce avec une fille de pêcheur.</q> David Burgess-Wise - Telegraph.</blockquote>
<blockquote><q>Si Dunhill était devenu "la marque d'un style de vie privilégié", Bertie, le frère à la barbe broussailleuse menait lui-même ce style de vie en dirigeant l'entreprise, devenue un empire international, depuis ses villas dans les Alpes italiennes et à Monte Carlo, où il badinait avec une succession de maîtresses exotiques, dont l'une d'elles,  la charmante Frederika Agnès Stodolowksy- était l'épouse d'un employé de Dunhill à qui on avait  bien commodément remis un aller simple pour l'Australie. Alfred, lui aussi, fut ensorcelé par la grande vie et partit un jour dans sa Rolls-Royce avec une fille de pêcheur.</q> David Burgess-Wise - Telegraph.</blockquote>


Mary on one of her business visits tells us a little about these meetings and about her uncle's last days.
Mary lors de ses visites d'affaires nous en dit un peu plus sur ces rencontres et sur la fin de vie de son oncle.


<blockquote><q>In the evenings we played roulette for as long as Uncle Bertie’s strictly limited stake-money would last, not to mention our own. The afternoon was reserved for going through our business papers, discussing every development and staff appointment I had on my list, with Uncle Bertie cross-examining me until he had every detail. Sometimes he would talk about the will he had been working on with his lawyers but, being fond of him and reluctant to think seriously about his death, I paid little attention to this subject. Once, when I complained of our financial frustrations more vigorously than usual, he quietly said, "Never mind, my dear. You’ll soon have it all your own way."<br><br>
<blockquote><q>In the evenings we played roulette for as long as Uncle Bertie’s strictly limited stake-money would last, not to mention our own. The afternoon was reserved for going through our business papers, discussing every development and staff appointment I had on my list, with Uncle Bertie cross-examining me until he had every detail. Sometimes he would talk about the will he had been working on with his lawyers but, being fond of him and reluctant to think seriously about his death, I paid little attention to this subject. Once, when I complained of our financial frustrations more vigorously than usual, he quietly said, "Never mind, my dear. You’ll soon have it all your own way."<br><br>