Musing On Bits/fr: Difference between revisions

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'''Musing On Bits, by John C. Loring''': ''re-published here by permission'' © John C Loring, with all rights reserved.
de John.C.Loring : republié ici avec son autorisation © John C Loring,, tous droits réservés.


Dunhill’s ‘push’ bit while not invented by Dunhill may well have been an important reason for its early success. At the time Dunhill began making briar pipes, circa 1911, most pipes were fitted with either ‘screw-in’ or ‘military’ bits and I suspect that the relatively few that were fitted with ‘push’ style bits had ‘fit’ problems because the briar bowl and vulcanite bit were probably made separatelyIn contrast Dunhill’s ‘push’ bit was rough fitted to the rough cut bowl and went through the finishing process with its bowl, rather then being hastily introduced at the end of the process. These hand cut bits probably represented better then a third of the overall pipe making labor and fit the shank so well that a small ‘white dot’ was added to the bit to indicate the top of the bit.  So all and all the bit is an important element of a Dunhill pipe.
Bien que les tuyaux à tenons (ou floc)  des pipes Dunhill n'aient pas été inventés par Dunhill, ils ont peut-être été une des raisons de leur succès précoce. A l'époque où Dunhill a commencé à fabriquer des pipes de bruyère, autour de 1911, de nombreuses pipes étaient finies avec soit des tuyaux à vis, soit des tuyaux à montage militaire, et je suppose que le peu de pipes munies d'un tuyau à tenon avaient des problèmes de finition car les têtes de bruyère et les tuyaux d'ébonite étaient sans doute fabriqués séparément.
Par contraste les tuyaux à tenon (floc) des Dunhill étaient ajustés bruts sur les têtes également brutes et suivaient tout les étapes de la finition avec leurs têtes, plutôt que d'être mis en place à la hâte en fin de processus. Ces tuyaux faits à la main représentaient sans doute plus d'un tiers du travail global sur la pipe et s'ajustaient si bien à la tige qu'un petit point blanc était ajouté sur le tuyau pour indiquer le dessus; aussi le tuyau dans son ensemble est un élément important de la pipe chez Dunhill.




The damnable part of it though is that it is virtually impossible to determine if a bit is truly ‘original’ to the pipe. There are basically three reasons for this dilemma. First, Dunhill, most especially before the 1960’s, and others since, became remarkably proficient in making replacement bits that both appear to be and fit as well as the ‘original’. Second, while there are ‘tell tale’ signs of a correct Dunhill bit, those signs are hardly ever dispositive. Third, Dunhill, especially prior to the 1960’s, prided itself in offering alternative bits as well as custom bit work.
Le mauvais côté de la chose c'est qu'il est virtuellement impossible de déterminer si un tuyau est vraiment d'origine. De base, il existe trois raisons à ce dilemme. D'abord, Dunhill, plus spécialement avant les années 60, de temps en temps ensuite, était devenu remarquablement compétent dans l'art de faire des tuyaux de remplacement qui semblaient “d'origine” et s'ajustaient aussi bien. Ensuite, bien qu'il existe des signes indicatifs d'un tuyau Dunhill correct, ces signes ne sont quasiment jamais concluants. Enfin, Dunhill, spécialement avant les années 60, mettait son point d'honneur à offrir des tuyaux de remplacement aussi bons que des tuyaux sur mesure.




I still remember with no little embarrassment advising in absolute terms some years ago that there was no way a weird looking ‘dental’ bit could have been Dunhill’s, only to find some months later that it was offered in a 1930’s catalog I was perusing. Similarly, Dunhill offered bits in alternative materials, amber, tortoise shell, ivory, and by force during WWII, in horn. Bits in the first three materials could easily cost far more then the briar bowl and I suspect that a good number, if not most, WWII era pipes were initially fitted with horn bits. A vulcanite Dunhill bit with a gold lip is also known.  
Je me rappelle encore, non sans un certain embarras, avoir soutenu de façon péremptoire il y a quelques années qu'il était impossible qu'un étrange tuyau “dental” ait pu être de chez Dunhill, uniquement pour trouver quelques mois après qu'il était proposé dans un catalogue de 1930 que je parcourais. De la même façon, Dunhill a proposé des tuyaux en matière différente, ambre, écaille de tortue, ivoire, et par obligation durant la Seconde Guerre Mondiale, en corne. Les tuyaux faits dans les trois premiers matériaux coûtaient bien plus cher que la tête en bruyère, et je suppose qu'un bon nombre, si ce n'est toutes les pipes réalisées durant la Seconde Guerre Mondiale avaient des tuyaux de corne à l'origine. On connaît également un tuyau Dunhill en ébonite avec une lentille en or.  




I have also seen apparent Dunhill bits fitted with metal ‘screw in’ fittings with simply no way of telling if such customization was done by Dunhill or post purchase by a third party. I have earlier written about the Dunhill 482 shape and the reader will note that the bit on the third pictured 482 has been severely planed down to achieve an angular effect. However, close inspection and comparison leaves one comfortably certain that the underlying bit was Dunhill’s, who may or may not have done the custom shaping. Another case involves a shape that in most rare examples has a very broad but standard bent saddle bit. In one known example however, the bit has been ‘cinched’ to visually suggest a ‘fish tail’ lip (actually the lip is identical in width with a standard lip). One might jump to the conclusion that it is a dreaded ‘replacement bit’ until one notes that there was a clear restamping on the shank to include a squeezed in “F/T” next to the shape number, signifying a ‘fish tail’ bit, making it  almost certain that in fact the bit represents factory customization.  (Note, as a practical matter the standard bit in question is so broad that one could not achieve a ‘fish tail’ bit other then by ‘cinching’ the bit.)
J'ai déjà vu un tuyau apparemment fait par Dunhill terminé avec un dispositif à vis sans aucun moyen de dire si cette adaptation était l'oeuvre de Dunhill ou réalisée après l'achat par une tierce personne.  
 
J'ai précédemment écrit un article sur la forme Dunhill 482 et le lecteur notera que le tuyau sur la troisième photo des 482 a été nettement aplani pour obtenir un effet anguleux. Toutefois une inspection minutieuse laisse la quasi certitude que le tuyau d'origine était un tuyau Dunhill, sans qu'on puisse dire qui l'a refaçonné.
 
Un autre cas concerne une forme qui dans de très rares exemples a un tuyau très large mais de forme courbe saddle standard. Dans un des cas rencontrés, cependant, le tuyau a été resserré (étranglé ?) pour suggérer visuellement une lentille “fish tail” (en fait la lentille est identique en largeur à une lentille standard). On pourrait sauter à la conclusion que c'est un de ces fichus “tuyaux de remplacement”, jusqu'à ce qu'on note que la tige a été nettement marquée à nouveau d'un F/T serré contre le numéro de forme, ce qui correspond à “fish tail”, rendant quasi certain qu'en fait le tuyau présente une adaptation d'usine (à noter qu'en pratique le tuyau standard en question est si épais qu'on ne pourrait pas parvenir à faire un tuyau fish tail autrement qu'en le resserrant.)




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So in the end while I often use the term “original bit” because it is our lingo, in fact I am of the opinion that all we can really say, at least for older Dunhills, is whether a bit appears to be Dunhill made, contemporary to the bowl and in a standard or non standard style.   I suppose if ‘pipe collecting’ was a traditional collecting activity I would end here, but in fact unlike with other collectables, most all pipe collectors actually use the pipes they collect indeed I am of the view that a new, unsmoked pipe is an unfinished pipe given the pronounced changes in a pipe after it has been smoked  -- so beyond “is it Dunhill” or “is it original” for me at least there is a far more important question: “is it a good bit?. The “482” bit I spoke of earlier was Dunhill made and likely as not Dunhill customized but it is currently being replaced with a third party hand cut bit cut to the standard Dunhill 482 bit style because both ascetically and for smoking I find the latter far more satisfactory. I suppose that when the pipe get back to me an occasional negative ‘replacement bit’ thought will come to mind as I smoke the pipe but for me that’s a cheap price to pay compared to not smoking it at all because the ‘original’ customized bit was ill-conceived and uncomfortable to smoke.
Ainsi, en définitive, alors que j'utilise souvent le terme 'tuyau d'origine' parce que c'est notre jargon, en fait mon opinion est que tout ce qu'on peut réellement dire, au moins pour les Dunhill les plus anciennes, est de savoir si un tuyau semble être une fabrication Dunhill, s'il est contemporain de la tête et s'il est d'un style normal ou non.
 
Je suppose que si la “collection de pipes” était une activité de collection traditionnelle je m'arrêterais ici, mais en fait à la différence des autres objets de collection, la plupart des collectionneurs de pipe utilisent les pipes qu'ils collectionnent de fait j'ai dans l'idée qu'une pipe neuve, non fumée est une pipe qui n'est pas achevée, étant donné les changements profonds qui se passent dans une pipe après qu'elle ait été fumée – ainsi, au-delà de demander -”est-ce du Dunhill” ou “est-il original” pour moi  il y a au moins une question qui est de loin la plus importante, et c’est : “est-ce un bon tuyau”?.
 
Le tuyau de la “482” dont j'ai parlé plus haut était une fabrication Dunhill, adapté ou non par Dunhill, mais à l’heure actuelle il a été remplacé par un tuyau fait main réalisé par une tierce personne selon le standard de la Dunhill 482, car à la fois je le trouve plus esthétique et pour fumer je trouve ce dernier plus satisfaisant. Je suppose que lorsque la pipe m'est revenue j'ai eu à l'occasion une pensée négative pour ce 'tuyau de remplacement” en fumant cette pipe mais pour moi c'est un petit prix à payer en comparaison du fait de ne plus la fumer du tout car le tuyau personnalisé 'd'origine' était mal conçu et inconfortable à fumer.
[[Category:Dunhill]]
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de John.C.Loring : republié ici avec son autorisation © John C Loring,, tous droits réservés.

Bien que les tuyaux à tenons (ou floc) des pipes Dunhill n'aient pas été inventés par Dunhill, ils ont peut-être été une des raisons de leur succès précoce. A l'époque où Dunhill a commencé à fabriquer des pipes de bruyère, autour de 1911, de nombreuses pipes étaient finies avec soit des tuyaux à vis, soit des tuyaux à montage militaire, et je suppose que le peu de pipes munies d'un tuyau à tenon avaient des problèmes de finition car les têtes de bruyère et les tuyaux d'ébonite étaient sans doute fabriqués séparément. Par contraste les tuyaux à tenon (floc) des Dunhill étaient ajustés bruts sur les têtes également brutes et suivaient tout les étapes de la finition avec leurs têtes, plutôt que d'être mis en place à la hâte en fin de processus. Ces tuyaux faits à la main représentaient sans doute plus d'un tiers du travail global sur la pipe et s'ajustaient si bien à la tige qu'un petit point blanc était ajouté sur le tuyau pour indiquer le dessus; aussi le tuyau dans son ensemble est un élément important de la pipe chez Dunhill.


Le mauvais côté de la chose c'est qu'il est virtuellement impossible de déterminer si un tuyau est vraiment d'origine. De base, il existe trois raisons à ce dilemme. D'abord, Dunhill, plus spécialement avant les années 60, de temps en temps ensuite, était devenu remarquablement compétent dans l'art de faire des tuyaux de remplacement qui semblaient “d'origine” et s'ajustaient aussi bien. Ensuite, bien qu'il existe des signes indicatifs d'un tuyau Dunhill correct, ces signes ne sont quasiment jamais concluants. Enfin, Dunhill, spécialement avant les années 60, mettait son point d'honneur à offrir des tuyaux de remplacement aussi bons que des tuyaux sur mesure.


Je me rappelle encore, non sans un certain embarras, avoir soutenu de façon péremptoire il y a quelques années qu'il était impossible qu'un étrange tuyau “dental” ait pu être de chez Dunhill, uniquement pour trouver quelques mois après qu'il était proposé dans un catalogue de 1930 que je parcourais. De la même façon, Dunhill a proposé des tuyaux en matière différente, ambre, écaille de tortue, ivoire, et par obligation durant la Seconde Guerre Mondiale, en corne. Les tuyaux faits dans les trois premiers matériaux coûtaient bien plus cher que la tête en bruyère, et je suppose qu'un bon nombre, si ce n'est toutes les pipes réalisées durant la Seconde Guerre Mondiale avaient des tuyaux de corne à l'origine. On connaît également un tuyau Dunhill en ébonite avec une lentille en or.


J'ai déjà vu un tuyau apparemment fait par Dunhill terminé avec un dispositif à vis sans aucun moyen de dire si cette adaptation était l'oeuvre de Dunhill ou réalisée après l'achat par une tierce personne.

J'ai précédemment écrit un article sur la forme Dunhill 482 et le lecteur notera que le tuyau sur la troisième photo des 482 a été nettement aplani pour obtenir un effet anguleux. Toutefois une inspection minutieuse laisse la quasi certitude que le tuyau d'origine était un tuyau Dunhill, sans qu'on puisse dire qui l'a refaçonné.

Un autre cas concerne une forme qui dans de très rares exemples a un tuyau très large mais de forme courbe saddle standard. Dans un des cas rencontrés, cependant, le tuyau a été resserré (étranglé ?) pour suggérer visuellement une lentille “fish tail” (en fait la lentille est identique en largeur à une lentille standard). On pourrait sauter à la conclusion que c'est un de ces fichus “tuyaux de remplacement”, jusqu'à ce qu'on note que la tige a été nettement marquée à nouveau d'un F/T serré contre le numéro de forme, ce qui correspond à “fish tail”, rendant quasi certain qu'en fait le tuyau présente une adaptation d'usine (à noter qu'en pratique le tuyau standard en question est si épais qu'on ne pourrait pas parvenir à faire un tuyau fish tail autrement qu'en le resserrant.)


Bien sûr il existe des signes distinctifs d'un tuyau Dunhill, mais en fin de compte ce ne sont que des indices. Les premiers tuyaux Dunhill étaient marqués d'un numéro d'enregistrement sur le dessous, mais ce chiffre s'efface facilement au polissage. De plus, les tuyaux Dunhill originaux et les tuyaux d'usine de remplacement de la première époque portaient tous un numéro d'enregistrement, ce qui fait qu’en définitive un numéro d'enregistrement prouve uniquement qu'il s'agit d'un tuyau Dunhill des débuts. La lentille d'un tuyau Dunhill est assez caractéristique, mais si on fait réellement une comparaison sérieuse de quelques tuyaux, on sera surpris par les changements résultant de l'usure d'usage et du polissage.

De façon similaire, on doit souvent jeter un coup d'oeil à la jonction tige-tuyau pour voir si la tige a été poncée pour ajuster un tuyau de remplacement; cependant dans les temps anciens les pipes étaient souvent « condamnées » à la roue de polissage et l’abus de cette pratique peut induire un aspect semblable. D'autres vérifieront si l'ajustement entre le tuyau et la tige est régulier, mais là encore si le tuyau seul est poli assez souvent, spécialement si le tuyau est bien oxydé, ce polissage rendra la jonction tige-tuyau irrégulière.

Certains pratiquent l'art de l'analyse du “Point Blanc”. Il est sûrement vrai que la taille du point a changé au cours des ans, en substance très petit au tout début pour être plutôt grand aujourd'hui, et que quelque part au cours des années 60 le plastique a été substitué à l'ivoire. Mais tout ivoire n'est pas similaire, dans certains cas le point d'ivoire (en réalité un petit cylindre) se rétractera et tombera avec le temps, et on pourra le remplacer avec un point plus grand et en plastique.

Souvent l'ivoire se colorera avec l'âge, mais certains ivoires resteront d'un blanc pur durant un siècle voire plus et à partir de la petite surface d'ivoire visible du point, même à la loupe il peut être difficile de faire la différence entre l'ivoire et le plastique. De même l'ivoire peut être assez poreux et une coulure accidentelle de teinture peut parfois lui donner une apparence de plus de point du tout, c.a.d. l'immonde “point noir”. (A noter également que pour les matériaux autres que l'ébonite, Dunhill utilisait intentionnellement un point qui n’était pas blanc).

Un autre “test” habituel consiste à regarder le tenon (ou floc) qui d'habitude est un cylindre lisse avec un chanfrein à la base. Mais les équipements et les pratiques pour faire les tuyaux de chez Dunhill n'ont pas été uniformes au cours du siècle, certains chanfreins sont moins prononcés que d'autres, le “cylindre” n'a pas été toujours poli lisse et avant la Seconde Guerre Mondiale les tenons de certaines formes, particulièrement les courbes, pouvaient varier selon qu'on adaptait ou non un “Inner Tube”. Et, bien sûr, en définitive un tenon non conforme peut indiquer seulement une réparation de tenon sur un tuyau Dunhill par ailleurs d’origine.


Ainsi, en définitive, alors que j'utilise souvent le terme 'tuyau d'origine' parce que c'est notre jargon, en fait mon opinion est que tout ce qu'on peut réellement dire, au moins pour les Dunhill les plus anciennes, est de savoir si un tuyau semble être une fabrication Dunhill, s'il est contemporain de la tête et s'il est d'un style normal ou non.

Je suppose que si la “collection de pipes” était une activité de collection traditionnelle je m'arrêterais ici, mais en fait à la différence des autres objets de collection, la plupart des collectionneurs de pipe utilisent les pipes qu'ils collectionnent – de fait j'ai dans l'idée qu'une pipe neuve, non fumée est une pipe qui n'est pas achevée, étant donné les changements profonds qui se passent dans une pipe après qu'elle ait été fumée – ainsi, au-delà de demander -”est-ce du Dunhill” ou “est-il original” pour moi il y a au moins une question qui est de loin la plus importante, et c’est : “est-ce un bon tuyau”?.

Le tuyau de la “482” dont j'ai parlé plus haut était une fabrication Dunhill, adapté ou non par Dunhill, mais à l’heure actuelle il a été remplacé par un tuyau fait main réalisé par une tierce personne selon le standard de la Dunhill 482, car à la fois je le trouve plus esthétique et pour fumer je trouve ce dernier plus satisfaisant. Je suppose que lorsque la pipe m'est revenue j'ai eu à l'occasion une pensée négative pour ce 'tuyau de remplacement” en fumant cette pipe mais pour moi c'est un petit prix à payer en comparaison du fait de ne plus la fumer du tout car le tuyau personnalisé 'd'origine' était mal conçu et inconfortable à fumer.