Dunhill/fr: Difference between revisions

Created page with "Dans le numéro de la revue Tobacco du 1er février 1941, Arthur E. Todd écrivit quelques mots sur Alfred Henry Dunhill et sa famille dans sa rubrique “les célébrités du..."
(Created page with "<blockquote><q>"Tout de suite après le départ en retraite de Père en 1928, lorsqu’Alfred Henry prit la présidence et devint directeur général, mais à peine plus qu’...")
(Created page with "Dans le numéro de la revue Tobacco du 1er février 1941, Arthur E. Todd écrivit quelques mots sur Alfred Henry Dunhill et sa famille dans sa rubrique “les célébrités du...")
Line 218: Line 218:
<blockquote><q>"Tout de suite après le départ en retraite de Père en 1928, lorsqu’Alfred Henry prit la présidence et devint directeur général, mais à peine plus qu’en titre, il fallut envoyer  à Oncle Bertie des comptes-rendus de tout ce qui se passait à Duke Street et Notting Hill gate, de cette façon il pouvait diriger l’affaire en la contrôlant à distance. Et le fait est qu’il la contrôla. On lui envoyait le chiffre d’affaire journellement par télégramme. Deux membres du personnel masculin allaient à tour de rôle à Merano, leurs sacoches bourrées  de rappports, de comptes rendus, de propositions de hausse de salaire et de demandes qui nécessitaient sa signature avant qu’on puisse y donner suite, l’exemple le plus absurde étant la querelle à propos du salaire de l’employée qui avait été augmenté d’une demi-couronne sans l’accord de Oncle Bertie. Il était furieux."</q> Mary Dunhill. <ref name=mary5> Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (pp. 86-87). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>  
<blockquote><q>"Tout de suite après le départ en retraite de Père en 1928, lorsqu’Alfred Henry prit la présidence et devint directeur général, mais à peine plus qu’en titre, il fallut envoyer  à Oncle Bertie des comptes-rendus de tout ce qui se passait à Duke Street et Notting Hill gate, de cette façon il pouvait diriger l’affaire en la contrôlant à distance. Et le fait est qu’il la contrôla. On lui envoyait le chiffre d’affaire journellement par télégramme. Deux membres du personnel masculin allaient à tour de rôle à Merano, leurs sacoches bourrées  de rappports, de comptes rendus, de propositions de hausse de salaire et de demandes qui nécessitaient sa signature avant qu’on puisse y donner suite, l’exemple le plus absurde étant la querelle à propos du salaire de l’employée qui avait été augmenté d’une demi-couronne sans l’accord de Oncle Bertie. Il était furieux."</q> Mary Dunhill. <ref name=mary5> Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (pp. 86-87). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>  


In the early '41, in one edition of Tobacco, Arthur E. Todd wrote a bit about Mr Alfred H. Dunhill and his Family, on his column named "Tobacco Notables"<ref name=ahd4>Todd, Arthur E. Tobacco, (1st. February 1941). Tobacco Notables Interview No. 6 - The Story of the Dunhill Family.</ref>:  
Dans le numéro de la revue Tobacco du 1er février 1941, Arthur E. Todd écrivit quelques mots sur Alfred Henry Dunhill et sa famille dans sa rubrique “les célébrités du tabac”<ref name=ahd4>Todd, Arthur E. Tobacco, (1st. February 1941). Tobacco Notables Interview No. 6 - The Story of the Dunhill Family.</ref>:  


<blockquote><q>'''Business That Grew from a Chance Idea in the Days of Draughty Motoring - Alfred Henry Dunhill in the Shop That is Their pride - 400 Prisoners Won Him the M.C. - Lamentable Case of Madame Le Brun.'''  
<blockquote><q>'''Business That Grew from a Chance Idea in the Days of Draughty Motoring - Alfred Henry Dunhill in the Shop That is Their pride - 400 Prisoners Won Him the M.C. - Lamentable Case of Madame Le Brun.'''