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En 1861 Frederick Dunhill (1807-1876) était marchand de charbon au 2, Barnsbury Place, dans le nord de Londres, mais vers 1839 il fabriquait également des sacs (entreprise d'emballages, fabrication de housses et de sacs en tissus) qu'il vendait. Henry (1842-1901) le plus jeune de ses cinq fils, y travailla comme apprenti. En 1870, à la mort de Frederick, Henry prit la tête de l'affaire. Plus tard il devint également marchand de pianos. L'affaire était située sur Euston Road, (une rue du Centre de Londres qui allait de Marylebone Road à King's Cross) où il commença également à fabriquer des accessoires pour le transport et l'équitation, tels que des selles et des harnais, prenant ainsi de l'importance. <ref name=balfour3>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (pp. 13-14). London, Weidenfield and Nicolson.</ref> | En 1861 Frederick Dunhill (1807-1876) était marchand de charbon au 2, Barnsbury Place, dans le nord de Londres, mais vers 1839 il fabriquait également des sacs (entreprise d'emballages, fabrication de housses et de sacs en tissus) qu'il vendait. Henry (1842-1901) le plus jeune de ses cinq fils, y travailla comme apprenti. En 1870, à la mort de Frederick, Henry prit la tête de l'affaire. Plus tard il devint également marchand de pianos. L'affaire était située sur Euston Road, (une rue du Centre de Londres qui allait de Marylebone Road à King's Cross) où il commença également à fabriquer des accessoires pour le transport et l'équitation, tels que des selles et des harnais, prenant ainsi de l'importance. <ref name=balfour3>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (pp. 13-14). London, Weidenfield and Nicolson.</ref> | ||
<blockquote><q> | <blockquote><q>La première mention de l’entreprise remonte à 1793 quand un ancêtre de Dunhill “s’occupait de l’équipement pour la circulation à cheval”. Les 100 années suivantes passèrent sans évènement notable jusqu’en 1893, où, à 21 ans, Alfred Dunhill reprit l’affaire de son père, qui vendait des cuirs pour chevaux, des selles et des accessoires de voitures à Londres, dans Euston Road, à Londres. <br> | ||
Bien qu’il ait travaillé comme apprenti dans la fabrication des harnais et se déplacait dans une charette tirée par un poney pour vendre des stores de voiture, Alfred fut prompt à abandonner la traction hippomobile pour le moteur dès qu’en 1896 la loi sur la circulation automobile porta la limitation de qui était alors de 4 miles par heure -environ 6,5 km/h- (avec un homme porteur d’un drapeau rouge marchant devant) à une vitesse nettement moins réduite de 12 m/h (environ 19 km/h). - Telegraph .<ref name=tm>Burgess, David. Telegraph (16 Aug 2003). Weird and Wonderful. UK: Telegraph Media Group.[https://pipedia.org/images/f/f7/Weird_and_Wonderful_-_Telegraph_Page.pdf]</ref></blockquote> | |||
In 1896 the automobile revolution began to occupy its space in the streets of London. Henry soon realized that this movement posed a future threat to his business. At 55 years old, he was no longer well in health and considered his retirement. When a fire destroyed a section of his store in 1897, Henry decided it was time for his son to take over the business. Mary reported, on a certain occasion, that her grandfather told that in one night, he came home and said: "So you want to take it over, Alfred?". Astute and already glimpsing the market, Alfred said yes and they shook hands. A few weeks later, Henry retired.<ref name=mary7>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 18). Great Britain, The Bodley Head.</ref> | In 1896 the automobile revolution began to occupy its space in the streets of London. Henry soon realized that this movement posed a future threat to his business. At 55 years old, he was no longer well in health and considered his retirement. When a fire destroyed a section of his store in 1897, Henry decided it was time for his son to take over the business. Mary reported, on a certain occasion, that her grandfather told that in one night, he came home and said: "So you want to take it over, Alfred?". Astute and already glimpsing the market, Alfred said yes and they shook hands. A few weeks later, Henry retired.<ref name=mary7>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 18). Great Britain, The Bodley Head.</ref> |