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<q>L’innovation la plus révolutionnaire d’Alfred Dunhill fut la Shell en 1917 (en voir plus à ce sujet ici [[The History of Dunhill's Shell]]). La découverte de cette technique de sablage est quelque peu mystérieuse. On entend souvent l’histoire selon laquelle Alfred Dunhill descendit dans sa cave en hiver pour fabriquer quelques pipes, et en oublia fortuitement une, à moitié finie, près de la chaudière. Il y retourna à un moment donné au cours de l’été suivant, ayant subitement pensé à la pipe, pour découvrir qu’une partie du grain s’était ratatiné, laissant place à un relief marqué. Evidemment, c’est apocryphe, et résulte probablement de l’aspect racorni que les sablages montraient fréquemment (particulièrement ceux, noueux, de cette époque). Certains disent que le mot Shell (coquillage) provenait de l’aspect ratatiné que prenait la pipe après le processus de sablage. Alfred réalisa que la bruyère algérienne, considérée alors comme inférieure, pouvait être utilisée avec ce nouveau procédé. On pouvait faire « sauter » le bois plus tendre, et laisser subsister seulement la bruyère plus dure et le beau dessin naturel du bois. A l’origine, les Shell n’étaient pas marquées, parce que la technique de sablage, pas encore au point, rendait beaucoup plus difficile de reconnaître la forme standard. Bien que la finition Shell ne résulte sûrement pas de l’oubli accidentel de pipes à la cave, ce fut assurément une innovation importante de la part de Dunhill. </q> Smokingpipes<ref name=sp>Smokingpipes (November 2006). A History of the Dunhill Brand. Retrieved 07:52, 27 February 2020 (CST) from [https://www.smokingpipes.com/pipes/new/dunhill/history.cfm smokingpipes.com]</ref>.
<q>L’innovation la plus révolutionnaire d’Alfred Dunhill fut la Shell en 1917 (en voir plus à ce sujet ici [[The History of Dunhill's Shell]]). La découverte de cette technique de sablage est quelque peu mystérieuse. On entend souvent l’histoire selon laquelle Alfred Dunhill descendit dans sa cave en hiver pour fabriquer quelques pipes, et en oublia fortuitement une, à moitié finie, près de la chaudière. Il y retourna à un moment donné au cours de l’été suivant, ayant subitement pensé à la pipe, pour découvrir qu’une partie du grain s’était ratatiné, laissant place à un relief marqué. Evidemment, c’est apocryphe, et résulte probablement de l’aspect racorni que les sablages montraient fréquemment (particulièrement ceux, noueux, de cette époque). Certains disent que le mot Shell (coquillage) provenait de l’aspect ratatiné que prenait la pipe après le processus de sablage. Alfred réalisa que la bruyère algérienne, considérée alors comme inférieure, pouvait être utilisée avec ce nouveau procédé. On pouvait faire « sauter » le bois plus tendre, et laisser subsister seulement la bruyère plus dure et le beau dessin naturel du bois. A l’origine, les Shell n’étaient pas marquées, parce que la technique de sablage, pas encore au point, rendait beaucoup plus difficile de reconnaître la forme standard. Bien que la finition Shell ne résulte sûrement pas de l’oubli accidentel de pipes à la cave, ce fut assurément une innovation importante de la part de Dunhill. </q> Smokingpipes<ref name=sp>Smokingpipes (November 2006). A History of the Dunhill Brand. Retrieved 07:52, 27 February 2020 (CST) from [https://www.smokingpipes.com/pipes/new/dunhill/history.cfm smokingpipes.com]</ref>.


Another new technique ended up ensuring the quality of Dunhill pipes. Before the sandblasting process, Dunhill would have the Algerian briarwood bowls immersed in olive oil for several weeks. Afterwards, they were left to dry, with the excess oil being occasionally wiped off. This method was originally developed for aesthetic reasons, but it turned out that the oil caused impurities to be forced out of the wood, resulting in a faster curing process. A further consequence of this process was the briar became incredibly durable, making the occurrence of burnouts much less frequent.  
Une autre technique nouvelle acheva de garantir la qualité des pipes Dunhill. Avant le processus de sablage, Dunhill immergeait les têtes en bruyère algérienne dans de l’huile d’olive durant plusieurs semaines. Après quoi on les laissait sécher, en essuyant si nécessaire l’excès d’huile. Cette méthode fut développée au début pour des raisons d’esthétique, mais il apparut que l’huile chassait les impuretés du bois, ce qui accélérait le processus de maturation. Une autre conséquence de ce procédé fut que la bruyère devenait incroyablement résistante, rendant le risque de brûlure beaucoup moins fréquent".  


In 1921, only fourteen years after Alfred Dunhill opened his doors, the firm developed ties with the royalty, supplying George VI with tobacco through the thirties and received its first Royal Warrant, as Tobacconist to Edward, Prince of Wales<ref name=mary14>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 67). Great Britain, The Bodley Head.</ref><ref name=jcl3>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After (p. 47). Chicago: self-published.</ref><ref name=balfour14>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (p.68). London, Weidenfield and Nicolson.</ref>. In the same year, 276,000 pipes were sold in the Duke St<ref name=sdt>Sheffield Daily Telegraph (March 11 1920). Mr Dunhill's Action Against Wolf Brothers. England: Johnston Press[https://pipedia.org/images/d/db/Sheffield_Daily_Telegraph_%28March_11_1922%29.jpg]</ref>. Shop. Dunhill formally instituted a one-year pipe guarantee (the "White Dot Guarantee") and in conjunction with that guarantee a date code system to date the year a pipe was offered for sale and Alfred Dunhill of London Inc. formed in New York (the store was opened one year later, in 1922 - same year of Alfred Dunhill of London Inc. was formed in Toronto and The Parker Pipe Company Limited also formed to become a subsidiary of Alfred Dunhill Limited.<ref name=balfour15>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (pp.76-77). London, Weidenfield and Nicolson.</ref>
In 1921, only fourteen years after Alfred Dunhill opened his doors, the firm developed ties with the royalty, supplying George VI with tobacco through the thirties and received its first Royal Warrant, as Tobacconist to Edward, Prince of Wales<ref name=mary14>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 67). Great Britain, The Bodley Head.</ref><ref name=jcl3>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After (p. 47). Chicago: self-published.</ref><ref name=balfour14>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (p.68). London, Weidenfield and Nicolson.</ref>. In the same year, 276,000 pipes were sold in the Duke St<ref name=sdt>Sheffield Daily Telegraph (March 11 1920). Mr Dunhill's Action Against Wolf Brothers. England: Johnston Press[https://pipedia.org/images/d/db/Sheffield_Daily_Telegraph_%28March_11_1922%29.jpg]</ref>. Shop. Dunhill formally instituted a one-year pipe guarantee (the "White Dot Guarantee") and in conjunction with that guarantee a date code system to date the year a pipe was offered for sale and Alfred Dunhill of London Inc. formed in New York (the store was opened one year later, in 1922 - same year of Alfred Dunhill of London Inc. was formed in Toronto and The Parker Pipe Company Limited also formed to become a subsidiary of Alfred Dunhill Limited.<ref name=balfour15>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (pp.76-77). London, Weidenfield and Nicolson.</ref>