Dunhill/fr: Difference between revisions

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<blockquote><q>Ces pipes fabriquées par d’autres, proposées à l'origine dans la boutique de Duke Street en 1907 se virent attribuer des numéros de forme qui allaient de 1 à 30, et les formes 1 et 3 furent copiées par Dunhill en 1985 pour son ensemble de pipes commémorant son soixante quinzième anniversaire. Les pipes étaient fournies avec ou sans bague argent et en trois graduation de qualité (de la plus haute à la plus basse : "B", "A" and "popular"). Je ne sais pas à l'heure actuelle quels étaient les marquages de ces pipes, mais si je devais proposer quelque chose, ce serait Dunhill au dessus de DUKE ST.S.W. sur l'un des côtés, avec le numéro de forme soit sur le même côté, soit de l'autre. En 1909 Dunhill lança sa propre affaire  de réparation de pipes et un an après, en mars 1910, l'étendit à un atelier de fabrication de pipes de deux personnes, en utilisant tout d'abord des têtes de pipes tournées en France.</q> The Dunhill Briar Pipe<ref name=jcl5>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After, The Beginnings (pp. 2-3). Chicago: self-published</ref>.</blockquote>
<blockquote><q>Ces pipes fabriquées par d’autres, proposées à l'origine dans la boutique de Duke Street en 1907 se virent attribuer des numéros de forme qui allaient de 1 à 30, et les formes 1 et 3 furent copiées par Dunhill en 1985 pour son ensemble de pipes commémorant son soixante quinzième anniversaire. Les pipes étaient fournies avec ou sans bague argent et en trois graduation de qualité (de la plus haute à la plus basse : "B", "A" and "popular"). Je ne sais pas à l'heure actuelle quels étaient les marquages de ces pipes, mais si je devais proposer quelque chose, ce serait Dunhill au dessus de DUKE ST.S.W. sur l'un des côtés, avec le numéro de forme soit sur le même côté, soit de l'autre. En 1909 Dunhill lança sa propre affaire  de réparation de pipes et un an après, en mars 1910, l'étendit à un atelier de fabrication de pipes de deux personnes, en utilisant tout d'abord des têtes de pipes tournées en France.</q> The Dunhill Briar Pipe<ref name=jcl5>Loring, J. C. (1998) The Dunhill Briar Pipe - The Patent Years and After, The Beginnings (pp. 2-3). Chicago: self-published</ref>.</blockquote>


<blockquote><q>Bob Winter joined Dunhill to handle pipe-repair work in 1909: he came from F. Charatan & Sons Ltd (of which company an account will follow). He was keen on the idea in the back of Dunhill's mind that a factory should be started, and introduced Joe Sasieni (also from Charatan), an amber and meerschaum worker, who joined the team for 50s a week, on 7 March 1910.</q> One Hundred Years and More. <ref name=balfour23>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (p.52). London: Weidenfield and Nicolson.</ref></blockquote>   
<blockquote><q>Bob Whiter rejoignit Dunhill en 1909 pour s'occuper de l'atelier de réparations : il venait de chez F. Charatan & Sons Ltd. Il était emballé par l'idée que Dunhill avait en tête de démarrer une usine, et lui présenta Joe Sasieni (de Charatan également) qui travaillait l'ambre et l'écume, et qui rejoignit l'équipe pour 50 shillings par semaine le 7 mars 1910</q> One Hundred Years and More. <ref name=balfour23>Balfour, Michael. (1992). Alfred Dunhill, One Hundred Years and More (p.52). London: Weidenfield and Nicolson.</ref></blockquote>   


<blockquote><q>He had continued to make headway as a tobacco blender, though, until 1910, he was still without a pipe to do justice to the quality of his blends. The calabash and finely carved meerschaum pipes in his showcases were too fragile for everyday use, and customers had long been complaining about the taste of the cheaply varnished Algerian briars which, as I pointed out, were about all any tobacconist had to offer.</q> Mary Dunhill <ref name=mary15>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 39). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>  
<blockquote><q>He had continued to make headway as a tobacco blender, though, until 1910, he was still without a pipe to do justice to the quality of his blends. The calabash and finely carved meerschaum pipes in his showcases were too fragile for everyday use, and customers had long been complaining about the taste of the cheaply varnished Algerian briars which, as I pointed out, were about all any tobacconist had to offer.</q> Mary Dunhill <ref name=mary15>Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (p. 39). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>