Dunhill/fr: Difference between revisions

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Alfred Henry devint président au départ en retraite de son père, mais ainsi que nous pouvons le lire dans les mémoires de Mary, il avait très peu d’autonomie. Son oncle Bertie gardait tout en main. L’affaire fut dirigée par Herbert jusqu’à son décès en 1950.
Alfred Henry devint président au départ en retraite de son père, mais ainsi que nous pouvons le lire dans les mémoires de Mary, il avait très peu d’autonomie. Son oncle Bertie gardait tout en main. L’affaire fut dirigée par Herbert jusqu’à son décès en 1950.


<blockquote><q>Soon after Father’s retirement in 1928 when Alfred Henry took over the chairmanship and became managing director in little more than name, a record of just about everything that happened in Duke Street and Notting Hill Gate had to be sent out to Uncle Bertie so that he could run the business by remote control. And control it he certainly did. Turnover figures were sent to him by daily telegram. Two male members of the staff took turns to travel to Merano, their bags stuffed with reports, accounts, proposed salary increases and requests that required his signature before they could be implemented, the most absurd example being the row over the tea-lady’s wages that had been increased by half-a-crown without Uncle Bertie’s authority. He was furious.</q> Mary Dunhill. <ref name=mary5> Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (pp. 86-87). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>  
<blockquote><q>"Tout de suite après le départ en retraite de Père en 1928, lorsqu’Alfred Henry prit la présidence et devint directeur général, mais à peine plus qu’en titre, il fallut envoyer  à Oncle Bertie des comptes-rendus de tout ce qui se passait à Duke Street et Notting Hill gate, de cette façon il pouvait diriger l’affaire en la contrôlant à distance. Et le fait est qu’il la contrôla. On lui envoyait le chiffre d’affaire journellement par télégramme. Deux membres du personnel masculin allaient à tour de rôle à Merano, leurs sacoches bourrées  de rappports, de comptes rendus, de propositions de hausse de salaire et de demandes qui nécessitaient sa signature avant qu’on puisse y donner suite, l’exemple le plus absurde étant la querelle à propos du salaire de l’employée qui avait été augmenté d’une demi-couronne sans l’accord de Oncle Bertie. Il était furieux."</q> Mary Dunhill. <ref name=mary5> Dunhill, Mary (1979). Our Family Business (pp. 86-87). Great Britain, The Bodley Head.</ref></blockquote>  


In the early '41, in one edition of Tobacco, Arthur E. Todd wrote a bit about Mr Alfred H. Dunhill and his Family, on his column named "Tobacco Notables"<ref name=ahd4>Todd, Arthur E. Tobacco, (1st. February 1941). Tobacco Notables Interview No. 6 - The Story of the Dunhill Family.</ref>:  
In the early '41, in one edition of Tobacco, Arthur E. Todd wrote a bit about Mr Alfred H. Dunhill and his Family, on his column named "Tobacco Notables"<ref name=ahd4>Todd, Arthur E. Tobacco, (1st. February 1941). Tobacco Notables Interview No. 6 - The Story of the Dunhill Family.</ref>: