The Ashton Pipe Story/fr: Difference between revisions

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Mais les pipes Dunhill étaient de bonne facture, aucune erreur. Oh, j'ai acheté d'autres marques (il faut tester les autres, pour ne rien manquer) mais aucune n'était aussi bonne à mes yeux que Dunhill – ni dans leur goût, ni dans les matériaux utilisés, ni dans la façon dont les pipes étaient fabriquées. Et comme le garçon de douze ans subsistait toujours en moi, (mais pas au point d'abîmer la finition des pipes), je devais étudier toutes les pipes de ma collection – en essayant de comprendre leurs secrets.   
Mais les pipes Dunhill étaient de bonne facture, aucune erreur. Oh, j'ai acheté d'autres marques (il faut tester les autres, pour ne rien manquer) mais aucune n'était aussi bonne à mes yeux que Dunhill – ni dans leur goût, ni dans les matériaux utilisés, ni dans la façon dont les pipes étaient fabriquées. Et comme le garçon de douze ans subsistait toujours en moi, (mais pas au point d'abîmer la finition des pipes), je devais étudier toutes les pipes de ma collection – en essayant de comprendre leurs secrets.   


Durant toutes les années 60 et 70 mon intérêt alla croissant. Je commençais à me rendre compte que fabriquer une belle pipe de bruyère s'apparentait à un art, mais un art qu'on devrait pratiquer au lieu de le regarder seulement pour ses qualités esthétiques. Je devais en savoir plus. Mais comment? J'avais lu les quelques livres et magazines qui traitaient de la pipe de bruyère, le besoin d'en savoir plus n'en était que plus grand. A l'été 1978 je décidai de passer une annonce dans la rubrique Collections du Friday Philadelphia Inquirer :
Durant toutes les années 60 et 70 mon intérêt alla croissant. Je commençais à me rendre compte que fabriquer une belle pipe de bruyère s'apparentait à un art, mais un art qu'on devrait pratiquer au lieu de le regarder seulement pour ses qualités esthétiques. Je devais en savoir plus. Mais comment? J'avais lu les quelques livres et magazines qui traitaient de la pipe de bruyère, le besoin d'en savoir plus n'en était que plus grand. A l'été 1978 je décidai de passer une annonce dans la rubrique Collections du Friday Philadelphia Inquirer :  
 
Recherche pipes en bruyère,
Paiement en espèces
Telephone XXX-XXXX


Surprise surprise- I received telephone calls from folks and went to visit them in their homes (it still never ceases to amaze me that so many folks would let a complete stranger have access to their home). Found some superb briar pipes too, amid others not quite so nice. At the end of a few weeks I had a nice little collection of some very good names, but I also found that I was visiting too many folks that had nothing but Medico’s and the like to show me. So I modified my ad to include Dunhill, Charatan, and Barling as the only pipes in which I had interest. This did manage to cut down on the number of visits I made, and the collection continued to build.
Surprise surprise- I received telephone calls from folks and went to visit them in their homes (it still never ceases to amaze me that so many folks would let a complete stranger have access to their home). Found some superb briar pipes too, amid others not quite so nice. At the end of a few weeks I had a nice little collection of some very good names, but I also found that I was visiting too many folks that had nothing but Medico’s and the like to show me. So I modified my ad to include Dunhill, Charatan, and Barling as the only pipes in which I had interest. This did manage to cut down on the number of visits I made, and the collection continued to build.