The Ashton Pipe Story/fr: Difference between revisions

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En entretenant des relations avec ces collectionneurs de pipes avec qui j'avais discuté, je m'aperçus que j'avais étendu mes connaissances en termes de marques, et que beaucoup tenaient en haute estime les pipes italiennes faites main. Aussi je recherchais également ces marques (Castello et Caminetto furent les deux qui me vinrent aussitôt à l'esprit) et glanais plus d'informations sur les tuyaux en acrylique et le rusticage à la main.
En entretenant des relations avec ces collectionneurs de pipes avec qui j'avais discuté, je m'aperçus que j'avais étendu mes connaissances en termes de marques, et que beaucoup tenaient en haute estime les pipes italiennes faites main. Aussi je recherchais également ces marques (Castello et Caminetto furent les deux qui me vinrent aussitôt à l'esprit) et glanais plus d'informations sur les tuyaux en acrylique et le rusticage à la main.


In time I had a little mailing list (never over forty names) of collectors to whom I would periodically mail what I guess would be called inventory sheets of the pipes I had to sell. And I was actually earning some money. Now, what to do with these $$. My ads were not producing a great deal at this point, and some of my collector pals had expressed interest in new pipes so…. As I knew the Dunhill pipe very well indeed I decided to become a Dunhill Principal Pipe Dealer. How to do this as I didn’t have a shop? Only one way- send ‘em money. I wrote a very nice letter to Alfred Dunhill Ltd. In New York expressing my keen interest in becoming a Dunhill Principal Pipe Dealer, and I enclosed a check for $3,000. Some time later I received twenty four Dunhill pipes in a Principal Pipe Dealer’s Cabinet… and change. I was in the new pipe business.
Au bout d'un certain temps j'avais une liste d'adresses (jamais plus d'une cinquantaine de noms) de collectionneurs a qui périodiquement j'envoyais ce que j'espérais qu'ils voudraient bien appeler une liste détaillée des pipes que j'avais à vendre. Et je gagnais vraiment de l'argent. Maintenant, que faire avec cet argent? Mes annonces n'avaient pas rapporté beaucoup à ce stade, et certains de mes amis collectionneurs  exprimaient leur intérêt pour les pipes neuves, alors… Comme je savais que les pipes Dunhill étaient très recherchées, je décidai de devenir un Revendeur Principal  en Dunhill. Comment y arriver alors que je n'avais pas de boutique? La seule manière : leur envoyer de l'argent. J'écrivis une jolie lettre à Alfred Dunhill Ltd à New-York, en leur expliquant mon vif intérêt de devenir Revendeur Principal  en Dunhill, et j'y joignis un chèque de 3000 $. Quelques temps après je reçus vingt-quatre Dunhill dans un coffret de revendeur Dunhill …et la monnaie. J'entrais ainsi dans le commerce de la pipe neuve.


Now that I could sell new Dunhill pipes I again wanted to know more about the brand, but this time not from afar. So I wrote to Dunhill, London and asked if I could have a look round. As I received a positive response I left for London in the fall of 1979. During this trip I was to meet some fabulous folks who worked for Alfred Dunhill- the then archivist one Mr. Gomersall who, though he knew even more about Dunhill lighters, could and did certainly shed light on many aspects of the Dunhill pipe from its creation to the time of my visit; and one David Webb, then just starting his tenure as manager of the Cumberland Road pipe factory who taught me a thing or two about a world market when it came to Dunhill pipes.   
Now that I could sell new Dunhill pipes I again wanted to know more about the brand, but this time not from afar. So I wrote to Dunhill, London and asked if I could have a look round. As I received a positive response I left for London in the fall of 1979. During this trip I was to meet some fabulous folks who worked for Alfred Dunhill- the then archivist one Mr. Gomersall who, though he knew even more about Dunhill lighters, could and did certainly shed light on many aspects of the Dunhill pipe from its creation to the time of my visit; and one David Webb, then just starting his tenure as manager of the Cumberland Road pipe factory who taught me a thing or two about a world market when it came to Dunhill pipes.