DATING ENGLISH TINNED TOBACCO/fr: Difference between revisions

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[A note about some of the above older tins as they are found today. The two principal problems presented by older tins today are dried out tobacco and rust. The inner top of a knife lid tin should be 'puffed out', if it is not there is a good possibility that a small hole has developed somewhere in the tin. Also regardless of external condition there is a tendency for knife lid tins to develop internal rust. The thick metal of coin twist tins generally means that external rust rarely penetrates to the inside. The particular danger presented by coin twist tins, especially the rectangular variety, is that in time the top will slightly lift away from the bottom breaking the air seal - gently pulling up on the top with your fingertips will not break a sound seal but will generally expose an already broken one. Also note that the oversized rubber gaskets or stoppers used in some early '50s coin twists have deteriorated by now and most probably are no longer air tight. The pop top tin metal tends to thin towards the top making pin prick rust holes a danger. Unlike wine and cigars however, the forgoing problems do not necessarily spell disaster. Dry tobacco may almost always be rejuvenated with good, sometimes exceptional results and even when rust is involved the rust generally effects only a small portion of the tin often allowing the bulk of the tobacco to be rejuvenated.]
[Quelques notes sur certaines des boîtes évoquées ci-dessus telles qu'elles se présentent de nos jours : les deux principaux problèmes présentés par les plus vieilles boîtes sont le tabac desséché et la rouille. Le couvercle intérieur d'une "knife lid tin" (boîte à couvercle à couteau coulissant) doit présenter un gonflement, et si ce n'est pas le cas il y a de fortes possibilités que la boîte présente un petit trou quelque part. De plus, indépendamment de leur état extérieur, les boîtes "knife lid tin" ont tendance à se rouiller de l'intérieur. Le métal épais dont sont faites les boîtes" coin twist" fait qu'en général la rouille extérieure pénètre rarement à l'intérieur. Le danger particulier que présentent les boîtes" coin twist", particulièrement les boîtes rectangulaires, c'est qu'avec le temps, le couvercle se soulève légèrement et rompt le joint d'étanchéité. En levant doucement le couvercle du bout des doigts, vous ne romprez pas un joint d'étanchéité solide, mais vous mettrez généralement en évidence un joint déjà rompu. A noter également que les joints en caoutchouc surdimensionnés ou les bouchons utilisés dans certaines boîtes" coin twist" du début des années 50 se sont détériorés et ne sont probablement plus étanches. Le métal des boîtes pop top a tendance à s'amincir vers le haut, ce qui favorise les trous causés par la rouille. Cependant, au contraire du vin et des cigares, les problèmes ci-dessus ne sont pas obligatoirement synonymes de désastre. Le tabac sec peut presque toujours être réhumidifié avec de bons et parfois d' exceptionnels résultats, et même lorsqu'il y a de  la rouille, celle-ci n'affecte généralement qu'une petite partie de la boîte, ce qui permet souvent de régénérer l'essentiel du tabac].
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[Besides dating, tins and similarity of tins can also be used to identify the actual manufacturer of blends. For instance blends in the '60s - '70s from the famed English 'high end' pipe shop Simmons come in exactly the same 4 ounce 'tall boy' coin twist tin used by Dunhill at that time - obviously Dunhill was the blender. Likewise, in the comparison the English made Ashton pop tops and those of the last English blender of Rattray are from the same English blender. As we know that the Rattray blender was Robert McConnell it follows that it too was the Ashton blender. Similarly, the McConnell coin twist tins of the '60s-'70s are fairly distinctive, so when one comes across 'store brand' 'Made in England' tins from Leavitt & Peirce (a famed Cambridge, Massachusetts pipe shop) in the same distinctive style and with McConnell blend names the conclusion is self evident. More intriguing is that at the same time Leavitt & Peirce offered its 'Made in England' blends in 8 ounce key top tins, assumedly also produced by McConnell. English key top tins however, are unusual otherwise known only from Fribourg and Treyer and John Cotton, both important albeit deceased UK pipe shops, which in turn leads to the speculation that perhaps McConnell was the blender of these blends as well. Hopefully, response to this article will allow for better definition of the 'true blenders' of the many British and American 'store brand' 'made in England' blends.]
[Outre leur datation, on peut utiliser ces boîtes et leur similitude d'aspect pour identifier le fabricant réel des blends. Ainsi, par exemple, les blends des années 60 et 70 provenant de la célèbre boutique de pipes anglaise  "haut de gamme" Simmons sont distribués exactement dans la même boîte de 4 onces "tall boy" coin twist utilisée par Dunhill à l'époque - Dunhill était de toute évidence le blender. De même, les boîtes "pop tops" Ashton de fabrication anglaise et celles du dernier blender anglais de Rattray provenaient de ce même blender. Comme nous savons que le blender de Rattray était Robert McConnell, il s'ensuit qu'il était aussi celui d'Ashton. De la même façon, les boîtes "coin twist" McConnell des années 60 et 70 sont assez spécifiques, aussi, lorsque l'on trouve des boîtes  de mélanges "Made in England" de chez Leavitt & Peirce (un célèbre magasin de pipes de Cambridge, Massachusetts) du même style et avec des noms de mélanges McConnell, la conclusion est évidente. Le plus curieux, c'est qu'à la même époque, Leavitt & Peirce proposait ses mélanges "Made in England" dans des boîtes "key top" (couvercle à clé) de 8 onces (227 g), vraisemblablement fabriquées également par McConnell. Les boîtes anglaises "key top"  sont toutefois rares et  ne sont connues autrement que pour avoir été utilisées par  Fribourg & Treyer ou John Cotton, deux importants magasins de pipes britanniques, aujourd'hui disparus, ce qui amène à penser que McConnell était peut-être aussi le blender de ces mélanges. Espérons que les retours sur cet article permettront de mieux déterminer les "véritables blenders" des nombreux mélanges britanniques et américains "de marque" vendus comme "made in England"].
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